Quelques propos sans gravité par Yves Philippe de Francqueville

Quelques propos sans gravité par Yves Philippe de Francqueville

Attention : danger… À propos du traitement des allergies !

Note ajoutée non numérotée, développée et commentée, après avoir été extraite de la première liasse des écrits de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.

 

Attention : danger…

À propos du traitement des allergies !

Le principe dramatique

de la désensibilisation.

 

Depuis une trentaine d’années, en raison de la multiplicité des produits chimiques entrant dans la composition de l’alimentation et des produits d’hygiène domestique et corporelle, s'ajoutant à la pollution du quotidien et celle insidieuse des grandes usines de la planète (Elles polluent surtout la nuit, car les testeurs de contrôle sont effectifs le jour), le corps humain, comme celui des animaux souffre.

Il subit à l'instar de notre petite Terre, des méfaits de la surconsommation et de la non considération écologique.

Je ne pense pas cependant que la planète soit en danger… Elle saura peut-être s'harmoniser sans nous… un jour ou l'autre ?

Et pour l'humain ?

Face aux agressions multiples — souvent invisibles — ne pouvant plus se défendre, le corps finit par saturer et refuse catégoriquement d’être au contact interne ou externe de tel ou tel produit… sans raison apparente.

Le jeu sociétal est déjà orchestré depuis le milieu du XIXème siècle.

Il va pousser à l'extrême l'éloignement de l'homme avec la nature, avec la terre… avec sa Terre. Les habitations à étages, en tours… puis en "gratte-ciels" séparent dramatiquement notre lien au sol que l'on couvre de bitume. Aussi, dans les villes, les petits espaces verts sont de bien fragiles poumons souvent sur-éclairés la nuit, perturbant les plantes dans leurs cycles pour la production de la photosynthèse.

La nature a besoin d'être respectée dans ses cycles…

L'humain aussi. 

L'obsession de la propreté et de l'hygiène absolue, "inventée" par les "amis de PASTEUR", avec cette lutte acharnée vis-à-vis des bactéries et autres acariens… a entraîné, dans le monde animal, toujours davantage de catastrophes dont nous ne mesurons que très peu encore à ce jour, les conséquences dramatiques ! Cette guerre contre le petit et l'infiniment petit, sous prétexte qu'ils sont très très nombreux, qu'ils nous font peur et que nous avons besoin de tout maîtriser… est aussi folle et mortifère que la destruction de la forêt amazonienne…

La nature est harmonieuse. Nous devons nous adapter et vivre en bonne entente avec elle. Les bactéries nous protègent d'organismes plus dangereux…

La peur et l'ignorance nous ont poussé à croire des absurdités qui deviennent certitudes et vérités par matraquage ! Toutes ces illusions sont très difficiles à remettre en cause chez le commun des mortels, enchaîné avec son accord devant le mur des ombres de la Caverne… conté par PLATON.

Qui écoute celui qui vous dit que la mortalité est liée à un non partage volontaire des richesses ? Comment le croire s'il vous dit qu'il y a assez de nourriture sur la planète pour tous… et depuis toujours ? qu'hélas, la régulation des humains — pour le bien être de l'Ordre Mondial — nécessite certainement des sacrifices, des guerres, des famines et des massacres ?

Oui, faut-il croire celui qui vous explique que l'on vivait déjà très vieux au temps des mésopotamiens, comme au temps des pharaons, des romains, ou au Moyen-Âge… ou même pendant les guerres et les famines, lorsque l'on est du côté de "l'élite" ?

Pour mes ancêtres, qui ne sont pas mortes en couche ou à la guerre, ils ont vécu fort longtemps en moyenne… et beaucoup même au-delà de 80 ans !

C'est plutôt aujourd'hui que la durée de vie diminue pour les humains… "élites" ou pas, avec autant de dégénérescence cérébrale pour les uns que pour les autres.

Arrêtons de croire les livres imposés par la publicité et la censure, voire l'autocensure… ces écrits commis pour nous éduquer au sacrifice et à la haine de l'autre… parce qu'il habite de l'autre côté du fleuve ou parce que sa peau est plus claire, s'il est gaucher ou si ses cheveux sont roux… et tout cela généralement au nom d'un dieu ou pour la "patrie" !

 

Cultivons-nous, apprenons après avoir désappri!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il faut cultiver notre jardin !

 

La stérilisation et autres pasteurisations qui gagnent de manière insidieuse – mais galopante – nos assiettes, nous séparent du "vivant" et nous transforment en individus sans racine, sans âme, sans cœur, sans vie… L'humain se fragilise et perd son humanité, pour devenir "machine" qui fonctionnera de plus en plus au "chimique"… géré bientôt par une carte à puces implantée dans son bras gauche… (Voir cette lutte menée avec passion par Yeph, pour éviter d'en arriver là, dans le Cycle de l'Austrel… trois tomes déjà écrits par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE : Souvenir d'un amour, Notre sauveur et Comme une abeille hors de sa ruche. À télécharger gratuitement en allant sur le SITE, portail de tous les écrits. À venir le dernier tome du cycle : La mort de l'Archyeur).

Les aliments sont de plus en plus chlorés. (Toutes les viandes américaines le sont par décrets, et en Europe, déjà, celles des fastfoods sont traitées pour être imputrescibles… donc impropres à donner du vivant ! C'est une situation similaire qui a entraîné une catastrophe écologique (ignorée par beaucoup), en Australie, où des centaines de milliers d'hectares de terres à herbages sont devenues infertiles à la vie, en raison de la couche impressionnante de bouses stériles des vaches laitières, de Nestlé et de Danone et des autres grands groupes œuvrant économiquement pour notre bien, certainement. Ces pauvres bêtes — ayant une capsule médicamenteuse (surtout des antibiotiques) implantée, dans le ventre — donnent des déjections que les bousiers et autres insectes coprophages ne peuvent plus digérer).

Il faut ajouter aussi la "pasteurisation à froid" (par rayonnement ionique) qui est en plein essor pour nos fruits et légumes : la pourriture va disparaître de notre alimentation empêchant la dégradation naturelle, et nous transformant… dans notre capacité à penser, en lien avec la nature. Il y a aussi la suppression progressive des levures et autres présures et bactéries déclencheuses des processus entrant dans la fabrication naturelle du pain, des fromages et autres yaourts… remplacées par des produits chimiques, moins chers et plus facilement gérables !

Pas de soucis, personne ne doit s'en alarmer ! Personne ne doit d'ailleurs en être informé : cela ne peut être et ne doit pas être indiqué sur la liste des produits intervenant dans la fabrication d'un aliment — conformément à la législation — car ces éléments chimiques n'entrent que pour "moins d'un pour cent dans la chaîne de fabrication" et bientôt ce sera pour "moins de dix pour cent dans la chaîne de fabrication"…

Oui, et depuis peu, les expressions rassurantes : "sans produits ajoutés", "sans conservateurs", "sans OGM"… n'ont plus l'obligation d'être suivies de l'astérisque donnant la précision : "conformément à la législation"… Ce n'est pas important, le consommateur trouve naturel de consommer de la salade en sachet qui tient ferme et croquante une semaine, alors que celle cueillie le matin dans le jardin est fripée le soir… Mais la douzaine de poisons qui arrosent dans un brouillard constant la mise en sachet, pour que soit gardé la couleur, le goût, le croquant… en évitant la moisissure et la pourriture, les vers et les limaces ne pèsent pour rien dans la confection de ce qui nous tue à petit feu.

Et si c'est "conformément à la législation"… c'est que c'est bien pour nous.
Nous élisons les maîtres que nous méritons. Ils sont élus pour notre bien… et depuis toujours !

Ils décident pour nous les lois les meilleures…

Nous sommes donc des moutons, fidèles à des bergers aimables, et qui nous chérissent… jusqu'aux portes des abattoirs ?

Nous assurer notre avenir ?

C'est un grand travail organisé par les puissants de notre monde, afin de nous fidéliser à des idées où nous serons heureux et obéissants… dociles.

Pour comprendre l'humain, pour devenir humain, il est essentiel de désapprendre ce qui fut imprimé dans notre mémoire, par la force et la peur, par les religions dites "aux livres".

Que ce soit dans le judaïsme, le christianisme ou l'Islam — les religions du moment — les porteurs de la voix de leur dieu ont placé l'Homme comme maître de la nature qui fut créée en "son honneur". Alors, l'illusion que "tout est nécessairement pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles" hante l'humain depuis lors… et si quelque chose ne va plus (tremblement de terre, volcan réveillé soudainement ou épidémie…) tout cela est dû certainement à la faute de l'homme qui s'éloigne de son dieu… il est puni par amour… pour son bien !

Non…

Quittons notre état de bipèdes écervelés qui exaspérait tant Marguerite YOURCENAR, pour devenir des humains curieux… attentifs à la lumière de la connaissance !

 

L'alimentation est l'élément clef de la rencontre entre le corps et l'esprit : une âme saine dans un corps sain.

Lorsque le corps finalement refuse d'être manipulé, il crie, il se révolte… il devient même parfois fou…

Le docteur Catherine KOUSMINE disait d'ailleurs que le dernier cri du corps, c'était le cancer : un "malin" plaisir à développer des cellules de manière anarchique pour jouer de la révolte en liberté !

Et l'allergie ?

Il est vrai qu’un excès de pollen dans un espace particulier peut nous faire éternuer, moucher ou pire. Nous ne sommes que des hommes, et la nature, qui n'a pas forcément besoin de nous, peut être hostile en certains espaces ou dans des conjonctures précises.

 

L’allergie devient alors une réaction naturelle d’un organisme poussé à bout. L'allergie va se construire sur un espace plus fragile… elle va profiter d'une brèche dans notre carapace immunitaire pour s'exprimer… pour exprimer un rejet, un refus d'une situation physique, psychologique ou affective !

Le corps va communiquer à sa manière, en puisant dans ses espaces de souffrances qu'il a enduré.

Si nous sommes déjà fragiles, il provoquera alors toute une série de complications. Devons-nous voir en ce pollen la source d’une allergie ou seulement l’élément déclencheur, venu en dernier dans la chaîne de destruction ?

Voici une expérience concrète : je m'asperge de "citronnelle" (issue de l'agriculture biologique) sur le corps en bonne santé, dans un pays infesté de moustiques… à raison de trois fois par jour, préférant vivre nu au soleil et sous les étoiles. Aucune réaction perçue du corps, pendant les dix premières journées consécutives, où se renouvelle l’expérience. Tout allait très bien… Cependant, une irruption cutanée apparaît au terme de ces 10 jours, sur toutes les parties aspergées par le produit. Le corps a finalement saturé et a refusé au bout d'un temps donné, l’agression occasionnée par cette super citronnelle ; le seuil de tolérance a en effet été dépassé. Arrêt immédiat de l'offensive sur le corps et disparition des plaques au bout de seulement deux journées sans aspersion nouvelle ou ajout d'un produit particulier. Attente de huit jours, et nouvelle exposition volontaire de la peau à la citronnelle sur un espace réduit : réapparition immédiate des plaques sur quasi tout le corps… qui mettent deux fois plus de temps à disparaître. Attente de six mois et exposition renouvelée à la citronnelle : réapparition immédiate des plaques ! Après deux années d’interruption, le corps ne réagit plus au produit proposé avec parcimonie : Il a donc enfin libéré de nouveau son seuil de tolérance… pour un temps.

 

Chaque être humain a certainement un seuil de tolérance propre, et il y a ainsi des variations sensibles parmi les consommateurs de drogues telles que le cannabis ; ces variations expliquent que certaines personnes approchent plus vite que d’autres de l’overdose et de la schizophrénie, tandis que d’autres peuvent supporter longtemps l’ingestion de ces substances toxiques avant d’approcher l’état de destruction imminente.

Pour revenir au "problème" de l’allergie, plutôt que de protéger le corps à la source, les laboratoires pharmaceutiques soucieux de la rentabilité de leurs découvertes ont créé des programmes de désensibilisation… remboursés par la caisse d'assurance maladie ! Sachant que les actionnaires de ces brillants laboratoires, comme beaucoup de médecins, sont ceux qui nous gouvernent ! Et que nous sommes ceux qui payons… pour ceux qui sont "soignés" et pour ceux qui "soignent" et aussi pour ceux qui fabriquent leurs poisons, pardon, leurs potions miracles !

Alors, la désensibilisation, voilà une idée formidable pour nous faire perdre davantage notre humanité ! C’est-à-dire que l’on va détruire de façon chimique les éléments de révolte qui s’opposent à l’intrusion des corps étrangers — en fait, l’élément allergène !

Le mot "désensibilisation" et le mot "antirejet" sont les programmes d'apprentis sorciers qui nous proposent une forme de lobotomisation du corps… qui nous prépare à celle de l’esprit, afin de nous faire perdre l'affect. Les personnes qui ont été désensibilisées accumulent énormément de problèmes relationnels… de sensibilité perdue et donc les séparent dramatiquement du monde sensible.

Le corps ne pouvant plus ressentir, l’esprit est également désensibilisé… et le cœur se perd.

 

©Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.

 


 

 

 "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme"

rappelait LAVOISIER…

Ici un recyclage… à apprécier à sa juste valeur…

C'est une création artistique de Franck PASQUALINI,

pour illustrer le poème L'audacieux,

extrait du recueil Solitude étrangère,

écrit par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.

 

 

Auteur : Yves Philippe de Francqueville



08/05/2012
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