Espérance
Espérance
écrit à Bray-Dunes,
Alors que le silence habille mon sourire
Ce soir je suis moins seul à rêver près de l’eau.
La mer calme et sereine offre un aspect nouveau
Face à l’espoir du jour où viendrait le navire.
L’immensité toujours m’attire à sa mesure…
Une mort serait vaine à ce faible sursis
De n’avoir pas d’amour et survivre indécis :
Des nuits de solitude, une large blessure
Offre à ma gorge sèche un couperet sanglant.
Se mêle alors mon âme à l’amère nature
Impuissante à saisir la plus belle aventure :
Aimer sans lassitude, aimer sans faux semblant.
Je m’avance vers toi libéré de ce doute ;
Il n’y a que ton nom pour me tracer la route...
© Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
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